La 5G contre la SANTE

L’ANSES (Agence Nationale de la Sécuristé sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail) se préoccupe de la santé des habitants. 

Comme pour toute innovation, les responsables sont très précautionneux et estiment « qu’en l’état des connaissances, l’Agence estime peu probable que le déploiement de la 5G entraine de nouveaux risques pour la santé. »

D’autre se montrent plus inquiets : Le CIRC (centre inter de recherche sur le cancer) de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a classé́ en 2011 les champs électromagnétiques de radiofréquences comme « peut-être cancérogènes pour l’homme (groupe 2B) », sur la base d’un risque accru de gliome (cancer du cerveau). ».

Il est rappelé que le cerveau des enfants est plus fragile et l’expérience d’antennes posées sur le toit d’écoles a sans doute été la cause de gliomes du cerveau chez plusieurs enfants de ces écoles.

Les opérateurs sont en permanence soumis à des questionnement et le législateur a pris quelques dispositions : l’article 5 du décret 2002-775 fixe les valeurs limites d’exposition du public aux champs électromagnétiques et précise que ceux- ci doivent être aussi faibles que possible, pas proche des écoles, crèches ou établissements de soin, tout en préservant la qualité́ du service renduLa proximité́ étant définie dans un rayon de 100 mètres autour de l’antenne.

Par ailleurs il existe des personnes électrosensibles, pour lesquelles la justice française a reconnu l’électrosensibilité comme un handicap en 2015 (ALH accordée pour 3 ans).

Les habitants confrontés à ces réalités demandent que le principe de PRECAUTION s’applique dès à présents, d’autant qu’ils ne sont pas demandeurs de cette technologie, la fibre remplissant la même fonction.

Comme les impacts sont en diminution importantes en fonction de la distance, éloigner les antennes est la meilleure façon de répondre nos attentes

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